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Faux espoirs || PV Yuna [Terminé]
Leslie K. Solhanne
Médecin et psychologue du collège
Bonjour, mon nom de naissance est Leslie K. Solhanne et j'ai écrit : 29 messages depuis que je suis arrivé.e, le : 15/10/2021 à l'académie. J'habite actuellement à : l'appartement n°5 et je suis : Médecin
Voici mes points : : 60
Voici mes points : : 60
Il est surprit de son geste, ne s’étant pas attendu à ce qu’on lui caresse la tête. Pas que ça le dérange… enfin, cela ne le dérangeait pas parce que c’était Tetsuya. Une autre personne aurait plus que certainement plus de main… plus de bras non plus probablement.
Enfin, lui-même semblait l’avoir surpris avec sa réponse même si cela ne l’étonnait pas. Dans le fond, il n’avait jamais vu Tetsuya chercher une personne qui pourrait l’accompagner sur le long terme, comme si cela était impossible et pourtant, il avait déjà eu connaissance des shikigami à l’époque. Sûrement la gentillesse… vouloir causer le moins d’ennuis possible… pourtant, il avait bien vu à quel point la solitude avait meurtri le garçon et il en avait beaucoup voulu à Seimei pour cela.
– Peux-tu me dire au moins un nom, s’il te plaît ?
Il s’était assis en le contemplant, la tête légèrement penché sur le côté. Il ne s’était vraiment douté de rien ? Autant, il n’avait pas croisé le second médecin mais… les deux autres, si. Il aurai pensé que Tetsuya aurait tiqué pourtant, au moins avec son côté pointilleux sur l’histoire.
– Ou, alors, un moyen de les repérer, peut-être ?
Il ne pu s’empêcher de le regarder d’un air coupable, s’en voulant réellement du sentiment aussi présent de solitude chez le plus jeune. Il estimait qu’il aurait pû faire plus que simplement suivre les ordres de Seimei le concernant.
Les années avaient fait qu’il s’était vraiment attaché au garçon.
– Seimei nous ferait la misère si je te donnais des noms, mais écoutes bien, il y a trois endroit où tu devrait être particulièrement attentif ! C’est aussi important pour tes études ! Tout d’abords, en tant que président du conseil de discipline, tu devrais être plus attentif au lien entre l’infirmerie du collège mais aussi l’infirmerie du lycée ! Ensuite, arrête de dormir en cours d’histoire, tu va finir par avoir de mauvaises notes si tu n’écoutes pas ton professeur et c’est indigne de l’apprenti de Seimei ! Et pour finir, je pense que tu devrais t’intéresser au club de kendo, tu es doué là-dedans, ce serait dommage de ne pas y jeter un coup d’œil.
Il haussa les épaules, comme si ses « conseils » n’avaient aucune importance pour la suite pourtant, il avait bien répondu à la question posé en lui indiquant où chercher à défaut de lui donner une indication précise. Parmi les personnes donner, la dernière serait la plus facilement identifiable pour lui dans la mesure où il l’avait déjà croisé il y a longtemps.
En parlant de ça…
– D’ailleurs, tu as déjà fait une réunion avec ta vice-présidente ? Cela pourrait être intéressant.
Il bâilla de nouveau, s’étirant en même temps.
Il savait précisément qui était « Riannon Ootsuka » puisqu’elle était là lors de la mort de Seimei il y avait mille ans et c’était pour cette raison qu’il savait qu’elle aussi, pourrait aider Tetsuya.
Enfin, lui-même semblait l’avoir surpris avec sa réponse même si cela ne l’étonnait pas. Dans le fond, il n’avait jamais vu Tetsuya chercher une personne qui pourrait l’accompagner sur le long terme, comme si cela était impossible et pourtant, il avait déjà eu connaissance des shikigami à l’époque. Sûrement la gentillesse… vouloir causer le moins d’ennuis possible… pourtant, il avait bien vu à quel point la solitude avait meurtri le garçon et il en avait beaucoup voulu à Seimei pour cela.
– Peux-tu me dire au moins un nom, s’il te plaît ?
Il s’était assis en le contemplant, la tête légèrement penché sur le côté. Il ne s’était vraiment douté de rien ? Autant, il n’avait pas croisé le second médecin mais… les deux autres, si. Il aurai pensé que Tetsuya aurait tiqué pourtant, au moins avec son côté pointilleux sur l’histoire.
– Ou, alors, un moyen de les repérer, peut-être ?
Il ne pu s’empêcher de le regarder d’un air coupable, s’en voulant réellement du sentiment aussi présent de solitude chez le plus jeune. Il estimait qu’il aurait pû faire plus que simplement suivre les ordres de Seimei le concernant.
Les années avaient fait qu’il s’était vraiment attaché au garçon.
– Seimei nous ferait la misère si je te donnais des noms, mais écoutes bien, il y a trois endroit où tu devrait être particulièrement attentif ! C’est aussi important pour tes études ! Tout d’abords, en tant que président du conseil de discipline, tu devrais être plus attentif au lien entre l’infirmerie du collège mais aussi l’infirmerie du lycée ! Ensuite, arrête de dormir en cours d’histoire, tu va finir par avoir de mauvaises notes si tu n’écoutes pas ton professeur et c’est indigne de l’apprenti de Seimei ! Et pour finir, je pense que tu devrais t’intéresser au club de kendo, tu es doué là-dedans, ce serait dommage de ne pas y jeter un coup d’œil.
Il haussa les épaules, comme si ses « conseils » n’avaient aucune importance pour la suite pourtant, il avait bien répondu à la question posé en lui indiquant où chercher à défaut de lui donner une indication précise. Parmi les personnes donner, la dernière serait la plus facilement identifiable pour lui dans la mesure où il l’avait déjà croisé il y a longtemps.
En parlant de ça…
– D’ailleurs, tu as déjà fait une réunion avec ta vice-présidente ? Cela pourrait être intéressant.
Il bâilla de nouveau, s’étirant en même temps.
Il savait précisément qui était « Riannon Ootsuka » puisqu’elle était là lors de la mort de Seimei il y avait mille ans et c’était pour cette raison qu’il savait qu’elle aussi, pourrait aider Tetsuya.
Tetsuya Baishô
Collégien, Héritier de Abe no Seimei
Bonjour, mon nom de naissance est Tetsuya Baishô et j'ai écrit : 86 messages depuis que je suis arrivé.e, le : 19/10/2021 à l'académie. J'habite actuellement à : la chambre n°1 des dortoirs et je suis : président du conseil de discipline en plus de prendre des cours de 6ème.
Mon humeur ? C'est : : un secret !!
Voici mes points : : 161
Mon humeur ? C'est : : un secret !!
Voici mes points : : 161
Je tiens à connaître la réponse à au moins une de mes questions.
Peut-être ai-je l’air d’une personne complètement désespérée. Ce ne serait pas étonnant. Pas après ces centaines d’années difficiles. Pas après toutes ces pertes. Je n’ai jamais pensé à compter sur les Shikigami de mon maître par le passé, persuadé de manquer de force et que ces derniers ne me reconnaîtraient jamais comme un successeur de mon maître. La question ne pouvait même pas se poser étant donné mon jeune âge et le peu de connaissances accumulées. Sans parler de mon inexpérience. Aujourd’hui, tout a changé, mais mon maître étant de retour, je ne compte pas lui voler ses Shikigami quand cela me chante. Cela ne me semble ni approprié, ni respectueux. C’est pourquoi je compte beaucoup sur la présence d’être immortels sur cette île. Je me sens pathétique de ne pas les avoir repérés moi-même en un an. Et, actuellement, je ne me sens pas capable de reprendre la moindre recherche. Surtout si cela concerne une ou plusieurs personnes. J’ai assez donné !
Je ne parviens pas à définir l’expression de Guren.
Sans doute suis-je la personne qui le pousse à avoir un tel regard. Après tout, il me regarde et, après ce que je viens de lui dire alors qu’il sait combien j’ai souffert jusqu’à mon arrivée sur l’île, ce ne serait pas étonnant. Il est si douloureux à soutenir. Cela ne l’empêche néanmoins pas de me répondre sans me prendre en pitié et en me donnant des informations dont j’ai sans doute besoin. Il est vrai que je suis très peu allé à l’infirmerie du côté lycée. J’ai bien assez de travail en m’occupant du collège dans lequel se trouve la plupart des casse-cous. C’est pourquoi j’avais laissé aux lycéens du conseil de discipline de se charger du reste. Cependant, si le Shikigami me conseille d’aller faire un tour là-bas, c’est que c’est loin d’être inutile. Par contre, serais-je capable de ne pas m’endormir en cours ? C’est une grande question… Après tout, ce n’est pas comme si je le voulais. Mais il semble que ma fatigue ait été sous-estimée. Même moi, je ne pensais pas être ainsi éreinté. Enfin, le dernier lieu est le club de Kendo. J’avais vu celui-ci dans la liste des clubs, mais je ne m’étais pas dirigé vers lui pour une raison principale : je connais cette pratique pour tuer. Je ne voudrais pas que cela soit perceptible dans ma pratique. Puis, si je devais pousser plus loin, je crains que les mauvais souvenirs remontent et me donnent le cafard. Néanmoins, si c’est pour rencontrer un immortel, peut-être devrais-je tenter le coup, quitte à prétendre vouloir observer. Cela ne me coûtera rien.
- Merci, Guren.
Combien de fois lui ai-je dit cela aujourd’hui ? Je n’ai pas compté, mais ce n’est pas un problème puisqu’il mérite amplement ma gratitude.
Guren attire à nouveau mon attention.
D’abord, je ne suis pas certain de ce qu’il est en train de me dire. Mais, en regardant l’heure à la pendule mécanique accrochée au mur, je me lève en lui répondant :
- Effectivement, elle ne devrait plus tarder maintenant. J’avais complètement oublié avec tout ce qu’il vient de se passer…
Je vais chercher de quoi nettoyer la table sur laquelle a été renversé le thé plus tôt. Faisant cela, et en épongeant le liquide gâché, j’en viens à me demander en quoi cette rencontre pourrait-elle être plus intéressante qu’habituellement. Est-ce parce qu’elle fait également partie des personnes immortelles présentes sur l’île. En posant un regard sur le renard blanc, je pense qu’il est inutile de lui poser la question sans quoi il pourrait avoir des ennuis. Alors, à la place, je vais vers lui un fois ma besogne terminée et me met à sa hauteur pour passer une nouvelle fois ma main sur sa tête, un peu plus longtemps. Souriant, je remarque que ce geste pourrait signifier bien plus que toutes les paroles qui me viennent à l’esprit.
Suite à cela, je laisse Guren s’en aller.
J’imagine qu’il ne voudra pas assister, ou tout simplement ne pas montrer sa présence, à cette réunion qui a lieu pour discuter de la sécurité des élèves. Rien de bien intéressant pour un puissant Shikigami déjà affublé de la protection d’un immortel, de ce que j’ai pu comprendre. J’accueille alors ma vice présidente, Riannon Ootsuka avec une tasse de thé. Comment vais-je bien pouvoir l’amener à me dire si elle est immortelle ou non ?
Peut-être ai-je l’air d’une personne complètement désespérée. Ce ne serait pas étonnant. Pas après ces centaines d’années difficiles. Pas après toutes ces pertes. Je n’ai jamais pensé à compter sur les Shikigami de mon maître par le passé, persuadé de manquer de force et que ces derniers ne me reconnaîtraient jamais comme un successeur de mon maître. La question ne pouvait même pas se poser étant donné mon jeune âge et le peu de connaissances accumulées. Sans parler de mon inexpérience. Aujourd’hui, tout a changé, mais mon maître étant de retour, je ne compte pas lui voler ses Shikigami quand cela me chante. Cela ne me semble ni approprié, ni respectueux. C’est pourquoi je compte beaucoup sur la présence d’être immortels sur cette île. Je me sens pathétique de ne pas les avoir repérés moi-même en un an. Et, actuellement, je ne me sens pas capable de reprendre la moindre recherche. Surtout si cela concerne une ou plusieurs personnes. J’ai assez donné !
Je ne parviens pas à définir l’expression de Guren.
Sans doute suis-je la personne qui le pousse à avoir un tel regard. Après tout, il me regarde et, après ce que je viens de lui dire alors qu’il sait combien j’ai souffert jusqu’à mon arrivée sur l’île, ce ne serait pas étonnant. Il est si douloureux à soutenir. Cela ne l’empêche néanmoins pas de me répondre sans me prendre en pitié et en me donnant des informations dont j’ai sans doute besoin. Il est vrai que je suis très peu allé à l’infirmerie du côté lycée. J’ai bien assez de travail en m’occupant du collège dans lequel se trouve la plupart des casse-cous. C’est pourquoi j’avais laissé aux lycéens du conseil de discipline de se charger du reste. Cependant, si le Shikigami me conseille d’aller faire un tour là-bas, c’est que c’est loin d’être inutile. Par contre, serais-je capable de ne pas m’endormir en cours ? C’est une grande question… Après tout, ce n’est pas comme si je le voulais. Mais il semble que ma fatigue ait été sous-estimée. Même moi, je ne pensais pas être ainsi éreinté. Enfin, le dernier lieu est le club de Kendo. J’avais vu celui-ci dans la liste des clubs, mais je ne m’étais pas dirigé vers lui pour une raison principale : je connais cette pratique pour tuer. Je ne voudrais pas que cela soit perceptible dans ma pratique. Puis, si je devais pousser plus loin, je crains que les mauvais souvenirs remontent et me donnent le cafard. Néanmoins, si c’est pour rencontrer un immortel, peut-être devrais-je tenter le coup, quitte à prétendre vouloir observer. Cela ne me coûtera rien.
- Merci, Guren.
Combien de fois lui ai-je dit cela aujourd’hui ? Je n’ai pas compté, mais ce n’est pas un problème puisqu’il mérite amplement ma gratitude.
Guren attire à nouveau mon attention.
D’abord, je ne suis pas certain de ce qu’il est en train de me dire. Mais, en regardant l’heure à la pendule mécanique accrochée au mur, je me lève en lui répondant :
- Effectivement, elle ne devrait plus tarder maintenant. J’avais complètement oublié avec tout ce qu’il vient de se passer…
Je vais chercher de quoi nettoyer la table sur laquelle a été renversé le thé plus tôt. Faisant cela, et en épongeant le liquide gâché, j’en viens à me demander en quoi cette rencontre pourrait-elle être plus intéressante qu’habituellement. Est-ce parce qu’elle fait également partie des personnes immortelles présentes sur l’île. En posant un regard sur le renard blanc, je pense qu’il est inutile de lui poser la question sans quoi il pourrait avoir des ennuis. Alors, à la place, je vais vers lui un fois ma besogne terminée et me met à sa hauteur pour passer une nouvelle fois ma main sur sa tête, un peu plus longtemps. Souriant, je remarque que ce geste pourrait signifier bien plus que toutes les paroles qui me viennent à l’esprit.
Suite à cela, je laisse Guren s’en aller.
J’imagine qu’il ne voudra pas assister, ou tout simplement ne pas montrer sa présence, à cette réunion qui a lieu pour discuter de la sécurité des élèves. Rien de bien intéressant pour un puissant Shikigami déjà affublé de la protection d’un immortel, de ce que j’ai pu comprendre. J’accueille alors ma vice présidente, Riannon Ootsuka avec une tasse de thé. Comment vais-je bien pouvoir l’amener à me dire si elle est immortelle ou non ?
偽りの希望
Vendredi 23 avril 2021
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